Accomplir, Samaritaine, Réseau Vivre Paris...

Presse

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Les coupures de presse sont classées en ordre chronologique inverse.

Plus d'infos sur la Samaritaine sur le site du Collectif Samaritaine auquel appartient Accomplir.
Plus d'infos sur l'espace public, les terrasses, les nuisances sonores nocturnes et Paris la nuit sur le site du Réseau Vivre Paris ! dont Accomplir est un des membres fondateurs.


2014 - Haut

Le Parisien (1/02/2014)
La fontaine des Innocents : chef-d'oeuvre en péril - A deux pas des Halles, la fontaine des Innocents, ultime vestige du cimetière même nom, fait grise mine. Victime des outrages du temps et de la pollution, les reliefs des sculptures qui donne sa âgce rà ce remarquable édifice de la Renaissance s'effraient peu à peu. De-ci de-là, les rebords des bassins s'ébrèchent. Et le sol autour de la margelle semble se disloquer...


2013 - Haut

Le Figaro (21/02/13)
Les interrogations se multiplient sur la future Canopée des Halles. (…) Toutes ces poutrelles et les gouttières qui y sont raccrochées pour évacuer les eaux de pluie constituent de formidables nichoirs pour les volatiles. « Saint-Eustache est une réserve à pigeons, il va falloir se balader avec un parapluie sous la Canopée si on ne veut pas être bombardé de fientes », prédit Elisabeth Bourguinat.

Le Parisien (19/02/13)
Les recours pleuvent sur la Samaritaine. (…) L’association Accomplir avait, elle, dénoncé « les passe-droits sur la hauteur des immeubles accordés par la Ville de Paris à LVMH, sous prétexte qu’il s’agirait d’une opération d’utilité publique ».

Batiactu (18/02/13)
L'association Accomplir avait ouvert les hostilités, cette fois, ce sont deux autres associations qui montent au créneau contre le projet de réhabilitation de la Samaritaine. Selon le quotidien Le Figaro, la Société pour la protection des paysages et de l'esthétique de la France (SPPEF) et SOS Paris, épaulées par deux riverains, viennent de déposer deux nouveaux recours contre les deux permis de construire délivrés par la Ville de Paris.

Business Immo (18/02/13)
Deux associations de sauvegarde du patrimoine, la Société pour la protection des paysages et de l'esthétique de la France (SPPEF) et SOS Paris, ont déposé vendredi un recours contre les deux permis de construire délivrés à LVMH pour la réhabilitation de la Samaritaine, dont les travaux doivent débuter dans trois jours. L'information est révélée par le quotidien Le Figaro dans son édition du lundi. Suspensif, ce recours s'ajoute déjà à un autre, gracieux, déposé par l'association de riverains Accomplir.

Tribune de l’Art (18/02/13)
Le projet pour la Samaritaine attaqué par les associations. (…) La modification du P.L.U., en soi discutable, a été attaquée par l’association Accomplir, très active dans le quartier (notamment pour s’opposer à la monstrueuse Canopée des Halles), mais le jugement n’aura lieu qu’à la mi-2013 et n’est pas suspensif. Or, les travaux doivent démarrer très bientôt car les permis de démolir ont été déposés le 17 décembre 2012.

Le Figaro (18/02/13)
En sus de la célèbre Samaritaine, chef-d'œuvre d'Art déco, LVMH a acquis un pâté de maisons anciennes (dont une fin XVIIe, et une datant de Louis XV). Il n'est pas classé monument historique et devrait être partiellement rasé pour céder la place à un bâtiment moderne, conçu par l'agence d'architecture Sanaa. «Nous sommes satisfaits que le magasin ancien soit rénové, mais on peut remarquer que LVMH a largement mis en avant la restauration historique côté Seine pour mieux faire passer la pilule de l'opération ultramoderne côté Rivoli», remarque Élisabeth Bourguinat, de l'association Accomplir.
En verre sérigraphié, avec une façade transparente - surnommée le «rideau de douche» par les opposants -, cette dernière se veut un geste architectural, et le symbole d'une capitale moderne. Mais à tout le moins, elle détonnera dans le quartier.

StreetPress (15/02/13)
Associations de riverains : mais pourquoi sont-ils si méchants ? (…) C’est en réaction à « la campagne de presse lancée par des professionnels de la nuit » que le réseau Vivre Paris, s’est constitué en janvier 2010. Il fédère 26 associations - dont « Vivre le Marais » et « Les riverains de la Butte-aux-Cailles » - pour « le droit de dormir la nuit ». Sous la houlette d’Elisabeth Bourguinat, la « pitbull » des Halles, qui avait réussi à reporter le permis de démolir le jardin des Halles ou s’était attaquée à la rénovation de la Samaritaine, le réseau Vivre Paris écrit régulièrement aux ministres, maires ou députés.

Actualitté (23/01/13)
Si l'on en croit le blog Social Nec Mergitur, la future bibliothèque qui doit trouver sa place au sein du Forum des Halles sera principalement destinée à la génération Y, celle des digital natives, bien loin donc d'une bibliothèque pour tous. C'est bien ce que regrette certains habitants du quartier qui se rappellent qu'avant que l'on détruise tout pour reconstruire un Forum des Halles moderne, il existait déjà une bibliothèque : « La Fontaine ». Cet établissement était d'ailleurs plus particulièrement orienté vers le jeune public. Réunis dans l'association Accomplir, ces habitants ont envoyé une lettre à Anne Hidalgo, actuelle première adjointe du Maire de Paris mais également candidate à sa succession. Ils souhaiteraient obtenir des garanties quant au futur établissement.

Le Parisien (09/01/13)
Elle, c’est Elisabeth Bourguinat, 47 ans, secrétaire d’Accomplir, une des associations de riverains les plus redoutées des promoteurs. Son combat : « les opérations immobilières juteuses déguisées en opérations d’utilité publique et validées par les élus ». En cours, deux gros dossiers : le chantier des Halles et la Samaritaine.


2012 - Haut

Le Figaro (29/11/12)
Non loin, la piscine Suzanne-Berlioux a dû fermer mi-septembre, car des gravats tombaient dans le bassin. En cause ? Le chlore. «Les émanations ont peut-être attaqué le béton armé, mais les trépidations des travaux n'ont pas dû arranger les choses», estime Élisabeth Bourguinat, secrétaire de l'association de riverains Accomplir.

Le JDD (25/11/12)
La Canopée prend son envol. (…) De son côté, Elisabeth Bourguinat, de l’association Accomplir, redoute un « effet massif, très loin du voile ondoyant qu’on nous avait promis. La structure métallique sera aussi lourde que la tour Eiffel [7 000 t d’acier] pour un bâtiment de 14 m de haut ».

Street Press (03/10/12)
Bertrand Delanoë : « Vous savez que les jeunes de Berlin veulent aller faire la fête à Paris ? » (…). Au micro, une habitante du 13e arrondissement s’insurge : « Les terrasses flambent ! Les nuits sont épouvantables dans le quartier de la Butte-aux-Cailles ! » (…) Puis c’est la porte-parole de l’association de riverains « Accomplir » qui demande aux gérants d’établissements « de changer de métier » s’ils ne sont pas capables de garantir la tranquillité de leur rue. La moitié de salle se lève pour la huer. « Elle est là systématiquement pour nous provoquer ! Véhémente en plus ! » s’exaspère la chargée de communication d’une grosse boîte parisienne.

Le Figaro (02/10/12)
Si le bilan [des mesures de Bruitparif] devrait être publié dans une quinzaine de jours, le collectif Riverains Jean-Pierre Timbaud, partie prenante de l'opération, a déjà publié le sien. Il n'est pas concluant. Le collectif parle même d'un «désastre à la mesure des espoirs suscités par des mois de concertation». Élisabeth Bourguinat, porte-parole du réseau Vivre Paris, qui milite pour le droit de dormir la nuit, note que «seuls les "chuteurs" employés par les bars pour calmer les clients obtiennent des résultats tangibles».

Métro (02/10/12)
A Paris, riverains et fêtards toujours pas réconciliés (…). A l'applaudimètre, les "fêtards" l'emportent dans la salle. Mais les riverains rendent coup pour coup. "Si vous occupez l'espace public, vous en êtes responsables", rétorque Elisabeth Bourguinat, présidente de l'association Accomplir. Qui évoque la situation "désastreuse" de la rue Saint-Maur (XIe), où la Ville a pourtant lancé plusieurs expérimentations pour tenter d'apaiser les conflits, dont la mesure du bruit devant les établissements de nuit, à l'initiative de Bruitparif.

Liaisons (septembre 2012)
L’association Accomplir constate que la Ville n’a pris en compte presque aucune de ses réserves sur la manière dont est engagé le plus grand chantier de la capitale. Des procédures sont en cours pour tenter au moins de limiter la dérive financière du projet.

Liaisons (septembre 2012)
Élisabeth Bourguinat : de l’histoire littéraire à la bataille pour le quartier des Halles. La secrétaire de l'association Accomplir consacre la moitié de son temps à la défense des intérêts des habitants du centre de la capitale. La spécialiste de la littérature a dû s'initier au droit pour faire face à la complexité d'un dossier aux enjeux financiers considérables.

Le JDD (30/09/12)
Les cafés de nuit sur