A l'approche des travaux et des désagréments
qui vont les accompagner, certains prétendent que finalement
le fonctionnement du Forum et du quartier des Halles paraît satisfaisant,
et que le projet de rénovation des Halles serait donc superflu.
Voici, en quelques photos prises pendant l'hiver 2003-2004, la démonstration
qu'une rénovation de certaines parties du Forum et une remise à plat
du fonctionnement du quartier sont bien nécessaires...
Rue Rambuteau, un accès métro confidentiel
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Impossible de s’orienter dans le « flipper », surnom de la salle d’échange du RER
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Une sortie du RER en forme de souricière (portes de la salle d’échange côté Lescot)
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La traversée nord-sud du jardin (rue du Pont-Neuf / rue Montorgueil) se fait en zig-zag
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Gare aux crottes de pigeons en passant sous cette pergola, par ailleurs constamment coupée de barrières
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L’Eglise Saint-Eustache, dont la toiture présente de nombreux orifices, fournit un abri à des centaines de pigeons qui polluent tout le quartier (et aussi l’intérieur de l’église)
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Une fontaine délabrée
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Une serre peu visible au-dessous, et qui condamne une surface importante du jardin au-dessus
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Impossible de rester sur cette passerelle pour admirer les plantations autour des verrières des serres : on ne peut pas s’y croiser
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Dans le jardin, en suivant les chemins, on tombe sur des grillages
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Le quartier piétonnier : une réglementation peu connue et peu appliquée
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Par ici m’sieurs-dames, il suffit de s’approcher pour que la barrière s’ouvre, et voici un raccourci bien pratique entre la rue du Cygne et la rue de Turbigo
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Un parking gratuit en surface ; même en payant les amendes, on s’y retrouve !
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En l’absence de partage de la voirie clair, tout l’espace devient potentiellement aire de stationnement
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Le paradis des deux-roues motorisées, pourtant interdites
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Les matériaux des rues conçus pour les piétons et trop fragile pour les gros véhicules qui entrent aussi dans le quartier ; première étape : ça casse…
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Deuxième étape : l’emplâtre
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Troisième étape : on remplace, d’où ces petites barrières semées en permanence un peu partout dans le quartier
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Rue de Viarmes, un dépotoir permanent pour les chantiers du quartier
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Des trottoirs trop étroits rue Saint-Honoré
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Beaucoup plus de place pour les voitures que pour les piétons
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Des toilettes tellement invisibles et introuvables que tout le quartier est transformé en vespasienne
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La rue Courtalon, l’un des urinoirs favoris du quartier
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Pas de banc public dans le quartier, les gens s’assoient où ils peuvent
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