COMPTE RENDU DE LA REUNION RUE SAINT DENIS

27 MAI 2003

[compte rendu officiel réalisé par la mairie du 2ème]

 

Liste des personnes présentes

Prénom, Nom

Fonction, Association

Adresse

Email

Pierre Schapira

Adjoint au Maire de paris et Adjoint au Maire du 2ème

74, rue Montorgueil

75002 Paris

Pierre.schapira@mairie-paris.fr

Alain Le Garrec

Conseiller de Paris 1er. Président de la Sem Centre

15, rue du Louvre.

75001 Paris

 

Sylvie Wieviorka

1ère Adjointe au Maire du 2ème

Mairie du 2ème

8, rue de la Banque

sylvie.wieviorka@mairie-paris.fr

Michèle Haegy

2ème Adjointe au Maire du 1er

Mairie du 1er

 

Emmanuel Caldaguès

3ème Adjoint au Maire du 1er

Mairie du 1er

 

Franck Bouniol

Adjoint au Maire du 1er

Mairie du 1er

 

Jean Paul Maurel

Adjoint au Maire du 2ème arrondissement

Mairie du 2ème

8, rue de la Banque

 

Marie-Noëlle Bourriot

Conseillère d u 2ème Arrondissement

14, rue du Mail

75002 Paris

 

Gérard Dumas

Direction de le prévention et de la protection.

32 Quai des Célestins. 75004 Paris

 

Anne Calves

Direction de l’Urbanisme. SDER

17, Boulevard Morland.

75004 Paris

Anne.calves@mairie-paris.fr

Alain Denettre

Direction de le prévention et de la protection.

32, quai des Célestins

75004 Paris

Alain.denetre@mairie-paris.fr

Olivier Morges

Commissaire Principal 2ème

Commissariat du 2ème

 

Régis Duchène

Commissariat 2ème

Commissariat 2ème

 

Cyril Moncourtois

Police du 1er Arrondissement MPC

45, Place du Marché Saint Honoré. 75001 Paris

 

Franck Cabald

Police de quartier du 1er arrdt

Commissariat St Eustache

 

Renaud Delacroix

Aides Paris (bus échange seringues)

52, rue du Faubourg Poissonnière. 75010 Paris

Delacroix@aidesidf.com

Sylvain Jerabek

Directeur Aides Paris

52, rue du Faubourg Poissonnière. 75010 Paris

Jerabek@aidesidf.com

Monique Burkhard

Association Rue Saint Denis Paris 2

237, rue d’Alexandrie

 

Catherine Boudinot

Association Rue Saint Denis Paris 2

2, rue d’Alexandrie. 75002 Paris

cboudinot@wanadoo.fr

Antoine Poirier Vadon

Association Rue Saint Denis Paris 2

227, rue St Denis

75002 Paris

Antoinepv@noos.fr

Sébastien Gallas

Président Conseil de quartier Sentier

41, rue du Sentier

75002 Paris

Sgallas@yahoo.fr

Gilles Pourbaix

Association Accomplir

49, rue Saint Denis.

75001 Paris

Gilles.pourbaix@noos.fr

Elisabeth Bourguinat

Association Accomplir

15, rue Saint Denis

75001 Paris

Elisabeth.bourguinat@wanadoo.fr

Roberta Bernard

Directrice La Clairière

60, rue Greneta

75002 Paris

Laclairiere1@wanadoo.fr

Gilles Petit-Gats

La Clairière

60, rue Greneta

75002 Paris

Laclairiere1@wanadoo.fr

Frédérique Guyetanb

Aux Captifs La libération

92, rue Saint Denis

75001 Paris

Captifs1@free.fr

Laurent Liger

Aux Captifs La libération

92, rue Saint Denis

75001 Paris

Ligerlolo@hotmail.com

Père Denis Trinez

Curé de la Paroisse Saint Leu

92, rue Saint Denis

75001 Paris

Eglisesaintleu@voilà.fr

Mme Dominique Baudry

Association des Commerçants de la zone piétonne

79, rue Saint Denis

75001 Paris

Elpaso@wanadoo.fr

MP Berthier

Riverain

20, rue Saint Denis

75001 Paris

 

Cathie Simon-Loudette

Chargée de mission Mairie du 2ème

Mairie du 2ème

8, rue de la Banque

cathie.simon-loudette@mairie-paris.fr

Béatrice Chasle

Chargée de mission Mairie du 2ème

Mairie du 2ème

8, rue de la Banque

 

Flavie Martin

Coordinatrice Conseil de quartier

Mairie du 1er

 

 


COMPTE RENDU DE LA REUNION RUE SAINT DENIS

27 MAI 2003

 

 

Sylvie Wieviorka( 1ère Adjointe au maire du 2ème) remercie les participants d’avoir répondu présents à cette réunion organisée conjointement par la mairie du 1er et la mairie du 2ème arrondissements. Elle a pour objectif de faire un premier état des lieux avec les acteurs des deux arrondissements que ce soient les associations de riverains, de commerçants, de prévention, les services de la préfecture de police et les services de la ville, les élus.

 

Emmanuel Caldaguès (3ème Adjoint mairie du 1er) indique qu’une étude de requalification de la rue Saint Denis, menée par la direction de l’urbanisme de la Ville de Paris, avait été demandée par la mairie du 1er il y a 3 ans, ayant pour objectif la rédaction d’une charte de qualité en matière de circulation, voirie, terrasses, façades, enseignes.

 

Pierre Schapira (Adjoint au Maire de Paris, adjoint au Maire du 2ème) signale qu’il est nécessaire de resituer cette étude dans le cadre du projet de requalification des Halles qui englobe plus que la rue Saint Denis, projet mené avec la SEM Centre. Il est nécessaire pour le 2ème arrondissement de se rattacher à ce projet bien que les problèmes ne soient pas du même type.

 

Michèle Haegy (2ème Adjointe au maire du 1er) confirme qu’un travail important a été fait et qu’ un diagnostic précis existe. Il a été interrompu au moment des élections municipales.

 

Un membre de l’association Accomplir demande si une rallonge d’argent pourrait permettre d’étendre cette étude vers le 2ème arrondissement.

 

S.Wieviorka précise que si cette demande fait partie à la fin de la réunion des conclusions, les élus feront remonter cette demande à l’Hôtel de Ville, et E.Caldaguès pense qu’il serait cohérent de l’étendre.

 

Anne Calvès (Direction de l’urbanisme, chargée de mission quartiers centraux) indique que de grandes améliorations ont eu lieu en 10 ans. Les enseignes sont moins tapageuses. La Ville dispose de beaucoup de connaissances notamment en matière patrimoniale. Les activités sont différentes entre le 2ème et le 1er et si on agit en fonction des activités, alors les actions ne peuvent pas être les mêmes. Il faut s’appuyer sur les habitants qui ont du vécu par rapport à la rue.

 

P.Schapira souligne qu’il y a une vraie volonté politique du Maire de Paris de réhabilitation , et qu’il est nouveau de s’appuyer sur les habitants. Dans la rue Saint Denis les habitants sont maintenant différents et le rapport de force est désormais en leur faveur.

 

Catherine Boudinot (association rue Saint Denis Paris ) intervient pour expliquer que l’objectif de l’association Rue Saint Denis Paris 2 est que tout le monde puisse avoir sa place, aussi bien les commerçants de sex shops, que les autres commerçants ou les habitants.

 

Plusieurs thèmes sont ensuite abordés

 

LA PROSTITUTION

 

C.Boudinot et Antoine Poirier Vadon (association rue Saint Denis Paris 2), évoquent le problème de la prostitution au nord de la Rue Saint Denis. De nouvelles prostituées en provenance d’Asie, du Ghana, du Libéria ont fait leur apparition.

 

Le commissaire Morges (Commissaire principal du 2ème arrondissement) récapitule la situation. La prostitution était très forte dans les années 80. Maintenant, on compte entre 300 et 350 prostituées dont une centaine dans la journée.

Depuis 6 mois, il y a de nouvelles prostituées en provenance du Nigéria, du Ghana et des pays asiatiques, en situation irrégulière. Une dizaine de Chinoises a été interpellée récemment et a été reconduite à la frontière.

Les Chinoises sont appelées les « marcheuses » car elles tournent sur les 4 arrondissements.

 

L’axe de travail est sur les prostituées en situation irrégulière.

Ce sont des nouveaux réseaux organisés de différents types, ce qui implique une multiplicité des service : Direction Centrale de la Police Judiciaire, services de Répression du Proxénétisme…

 

L’association « Aux Captifs La Libération » a mis en place depuis 5 mois un bus en haut de la rue Saint Denis qui permet de recevoir les prostituées et de discuter avec elles, le vendredi. La difficulté était de rentrer en contact avec les prostituées chinoises qui ne parlent ni français ni anglais mais depuis une semaine, un bénévole qui parle chinois est présent.

 

LES MARGINAUX

 

Gilles Petit Gatz (Directeur du club de Prévention de La Clairière) explique qu’il y a 3 sortes d’associations qui travaillent sur la rue Saint Denis car il y a 3 sortes de marginalités, des visibles et des moins visibles : la prostitution, les gens dans la rue (+ dans le 1er), la toxicomanie.

Dans la portion piétonne du 2 ème, la marginalité est plus juvénile car il y a un effet initiatique lié à la rue Saint Denis. Il serait intéressant d’échanger les expériences que les associations rencontrent au quotidien car elles travaillent sur la même rue mais sans avoir les mêmes regards.

 

Renaud Delacroix (Association AIDES-Paris, Bus échange seringues) décrit le travail fait sur la rue fait depuis 7 ans avec un programme d’échanges de seringues. La particularité de la toxicomanie dans ce quartier est qu’elle se manifeste sous forme de consommation de médicaments détournés. L’association fait également un accompagnement sur l’accès aux droits. On voit beaucoup de gens qui vivent dans la rue. Avant, ils étaient sur Beaubourg mais il y a eu un grand nettoyage du 4 ème et donc ils sont venus vers le 1er.

 

S.Wieviorka se demande si ce sont des gens qui vieillissent là ou bien des nouveaux qui arrivent.

 

Renaud Delacroix répond que les 2 phénomènes se passent mais ce qui est sûr c’est que cela devient de plus en plus violent.

 

S.Wieviorka indique que cette réunion s’est organisée selon deux sources : les remontées des associations de riverains et les autres associations, et aussi lors du compte rendu de mandat, les habitants se sont plaints de la rue Saint Denis. Il est donc important de savoir s’il y a des attentes.

 

LES RELATIONS AVEC LES COMMERCANTS

 

Gilles Pourbaix (Association Accomplir, 1er) souhaite parler des relations avec les commerçants. Lors du travail sur le PLU, une visite très détaillée de la rue a été faite. Il a été noté plusieurs problèmes : les magasins fermés, les terrasses et les enseignes illégales.

 

Dominique Baudry (Association des commerçants de la zone piétonne, 1er) indique que lorsqu’un magasin ferme c’est souvent un service de restauration rapide qui le remplace.

Côté 2ème, il y a également beaucoup de sex shops qui sont fermés.

 

Alain Le Garrec (Conseiller de Paris du 1er arrondissement, Président de la SEM Centre) précise que le projet de restructuration des halles englobera le 2ème. C’est au niveau du PLU que l’on va pouvoir dire ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas.

Le problème véritable est sur les magasins qui disparaissent. Il faudrait que les commerçants donnent un signal sur un magasin qui peut fermer.

Plusieurs participants demandent s’il serait possible de créer un « mall » de la rue Saint Denis comme cela se pratique sur les Champs Elysées ou bien dans le forum, ce qui permettrait d’avoir un règlement et de le faire respecter.

 

Cette solution ne serait envisageable que si il y avait un propriétaire unique pour que les prix des loyers soient encadrés et ne soient pas exorbitants. Or la Sem Centre ne peut pas racheter les pas de portes car si cela se sait les prix augmenteront encore plus.

 

S.Wieviorka demande quels sont les moyens de faire pression sur les commerçants.

 

Selon A.Calves, les devantures nécessitent une autorisation de travaux. L’ABF du 2ème est tatillon pour essayer de reconstituer les immeubles du 2ème. Certains commerçants renoncent mais il y a quand même des résultats. Ceux qui déposent leurs dossiers sont désireux de rester. Le problème est les autres qui font les travaux le week-end.

Des PV sont dressés, cela va au tribunal, cela prend 16 mois et au bout de 16 mois, la société a déménagé, a changé de nom. Il n’ y a pas de solution.

 

Une solution proposée par l’association de commerçants serait de mettre en place un aide pour ceux qui arrivent.

 

M.Haégy pense que ce serait peut être possible pour ceux qui arrivent mais pour ceux qui sont installés depuis longtemps, la démarche est difficile. Il y a quelques terrasses, bien connues des services, qui posent de réelles difficultés. Les commerçants préfèrent payer des PV, mais les terrasses ou étalages restent toujours dans un état déplorables. Donc la réglementation actuelle doit d’abord être respectée.

 

A.Calves pense que quand la devanture est mise en valeur cela attire les autres commerçants. Il faudrait peut être un livre sur les « procédures » à engager dans la rue Saint Denis (espèce de livre).

 

G.Pourbaix souhaiterait que la réglementation en vigueur soit appliquée et pense que cela suffirait. Par exemple, les restaurants occupent illégalement l’espace public, transforme un 1er étage dédié initialement au logement en restaurant. Il est choquant de voir l’espace public privatisé.

 

D.Baudry souhaite que les commerçants donne une meilleure image par exemple en mettant une plante dans chaque étalage, et en ce qui concerne les terrasses, payent des droits de terrasses.

 

E.Caldaguès précise tout de même que les PV liés à des dépassements de terrasses sont inclus dans les charges de ces commerces. Il faudrait peut être réfléchir sur la sanction. 

 

Sébastien Gallas demande s’il est possible d’agir sur les propriétaires qui voient leurs bien se dégrader avec des incitations fiscales.

Selon A.Calves la difficulté vient du fait que ce sont des copropriétés.

 

Il faudrait procéder à l’élaboration d’une charte selon E.Caldaguès, qui pourrait entraîner un effet boule de neige. S.Wieviorka propose de solliciter les copropriétés et les inciter à adhérer à cette charte bien qu’elles soient libres de le faire ou non.

 

A.Calve insiste sur l’obligation de demander au service juridique pour savoir si on peut exclure un certain type de commerce.

 

Le travail avec les copropriétés est plus difficile car les sex shops peuvent acheter les lots 1 par 1 jusqu’à avoir la moitié des millièmes.

 

D. Baudry interroge Monsieur A.Le Garrec au sujet du 75, rue Saint Denis.

 

Cet immeuble doit environ 8 ou 9 millions de francs à la Sem en loyers. Il y a 4 ménages à reloger avant de pouvoir commencer les travaux. L’idée est de mettre en RDC un commerce de bouche.

 

Elisabeth Bourguinat (Association Accomplir)fait remarquer que certains magasins mettent la musique très forte car selon les gérants cela attirent le chaland. Il faudrait que la même règle soit imposée à tous avec peut être une opération coup de poing pour la faire respecter.

 

Il faudrait faire un système de donnant –donnant avec les commerçants, par exemple une autorisation de terrasses en échange d’un bonne enseigne.

 

CIRCULATION DES PERSONNES

 

E.Bourguinat explique que la rue Saint Denis, est un couloir et cela contribue au côté sordide. Il y a le même problème sur l’allée Saint John Perse car il n’y a pas de différence entre la chaussée et les trottoirs. La fluidité des personnes favorise le trafic. Idem pour les sex shop : il est plus facile de rentrer dans un sex shops quand il y a beaucoup de passants qui marchent vite que lorsqu’il y a des gens immobiles sur un banc ou autre. Sa proposition est de remettre beaucoup de bancs pour que les gens se réapproprient le lieu et se posent là. Selon elle, les SDF qui squattent là, le font parce qu’il y a peu de bancs et que donc ils ne sont pas dérangés par d’autres personnes.

 

M.Haegy indique que les bancs, notamment ceux de la rue Pierre Lescot, ont été enlevés non pas du jour au lendemain mais au bout des quelques années sur intervention soutenues des riverains et commerçants. Un seul banc a été enlevé pour les mêmes raisons, dans le jardin des Halles.

 

E. Bourguinat pense que cela ne règlera pas le problème des SDF car ils se mettront devant et se pose la question de savoir si augmenter les bancs augmenterait le problème. G. Pourbaix ajoute que il y a un manque de visibilité de cette rue. On ne sait pas si elle est piétonne ou si les voitures sont autorisées. C’est d’autant plus difficile à cerner dans le 1er, qu’il y a une absence totale de trottoirs, et que les voitures se garent n’importe où (même phénomène dans le 2ème avec le stationnement illicite des voitures). Egalement on peut remarquer que souvent les portes des immeubles sont englobées dans les façades des sex shop.

 

S.Wieviorka trouve que l’on n’a pas beaucoup parlé des gens qui traînent dans la rue.

 

Un membre de l’association Aux Captifs souligne l’importance de ne pas faire l’amalgame entre les dealers et les SDF. Les SDF sont là depuis 20 ans et ils sont domiciliés là.

 

Roberta Bernard (Directrice du Centre Social La Clairière)expose qu’ il existe 3 catégories qui ne se rencontrent pas : les habitants, les commerçants et les marginaux. Il n’ y a aucune raison qu’ils se rencontrent puisqu’ils ne se trouvent pas d’intérêts communs.

Il faudrait amorcer le dialogue en trouvant un sujet, par exemple les terrasses. Il faudrait faire rencontrer les 2 pour voir quelle est la règle du jeu en commun.

 

Le père Trinez propose de mettre à disposition la très grande salle de l’église Saint Leu afin de faire « un forum Saint Denis », avec une exposition où les gens pourraient venir s’exprimer.

 

R. Delacroix insiste que si une charte voyait le jour il serait impératif d’intégrer les marginaux dans cette charte de la cohabitation, en se servant de l’association puisque son rôle est d’être médiateurs.

 

Une expérience de coopération avait déjà eu lieu avec Accomplir et « Aux Captifs » au moment de la fête de Noël. , autour d’un travail avec l’association Accomplir.

 

CONCLUSIONS ET PROPOSITIONS

 

S.Wieviorka propose que ce groupe continue à travailler ensemble selon les pistes suivantes :

-        Réfléxion à partir des travaux du PLU sur la rue Saint Denis, axe structurant du centre de Paris.

-        Elaboration d’une charte qui engloberait les habitants, les commerçants et les marginaux. Il faudrait voir si la Ville pourrait mettre des médiateurs pour l’application de la charte, pour montrer que ce n’est pas qu’un bout de papier.

-        On note la proposition du père Trinez, sachant que dans les mairies du 1er et du 2ème il y aussi des salles qui peuvent servir.

 

A.Calves pense qu’il serait bien de demander les médiateurs dès maintenant pour qu’ils soient associés au projet dès le départ, de telle sorte qu’il soit plus facile ensuite pour eux de le faire respecter.

 

S.Wieviorka et E.Caldaguès remercient tous les participants. Fin de la réunion 20h30.